Hace unos días me levanté gris y tristón y, camino del
trabajo, me venía “l’amour” de la Carmen de Bizet a la cabeza, quizá con ansia
de remediar mis males. La letra dice así:
L'amour
est un oiseau rebelle
que
nul ne peut apprivoiser,
et
c'est bien en vain qu'on l'appelle,
s'il
lui convient de refuser.
Rien n'y fait, menace ou prière,
l'un
parle bien, l'autre se tait:
Et
c'est l'autre que je préfère,
Il n'a rien dit mais il me plaît.
L'amour! L'amour! L'amour! L'amour!
L'amour est enfant de Bohême,
il
n'a jamais, jamais connu de loi;
si
tu ne m'aimes pas, je t'aime
si
je t'aime, prends garde à toi!
Si
tu ne m’aimes pas,
Si
tu ne m’aimes pas, je t’aime!
Mais,
si je t’aime,
Si
je t’aime, prends garde à toi!
L'oiseau
que tu croyais surprendre
battit
de l'aile et s'envola ...
l'amour est loin, tu peux l'attendre;
tu ne l'attends plus, il est là!
Tout autour de toi, vite, vite,
il
vient, s'en va, puis il revient ...
tu
crois le tenir, il t'évite,
tu crois
l'éviter, il te tient.
Es un pájaro rebelde que no se deja domeñar ni por amenazas ni
por súplicas. Sin más ley que su ley, si tú no lo amas él te ama, y entonces
¡prends garde à toi! Crees tenerlo pero entonces se echa a volar. Cuando ya no
lo esperas, vuelve a estar ahí, a tu alrededor. Viene, se va, vuelve otra vez.
Crees tenerlo y te evita. Crees que lo has despachado y te tiene. ¡Ah, l’amour!
¿Como el Espíritu Santo, que sopla donde quiere?
Pero él sí se sujeta a súplica…
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